Après le succès de son premier fonds grand public axé sur le renouveau de l’immobilier français, Anaxago Capital lance un second millésime, ainsi qu’un club deal éligible au 150–0 B ter.
financé Créée en 2012, pionnière du financement participatif, Anaxago est d’abord une plate-forme spécialisée dans l’immobilier alternatif. Avec près de 300 M€ investis, la structure a déjà deux cent trente opérations, dont près de cent-quatre-vingts projets immobiliers de promotion et marchand de biens ayant dégagé un TRI net annuel de 9,1 %.
. Promotion et réhabilitation immobilière En près de dix ans, la FinTech s’est étendue et diversifiée. Devenu un véritable groupe, Anaxago crée, fin 2018, sa propre société de gestion, Anaxago Capital, en réponse aux sollicitations des investisseurs désireux d’investir davantage et de ne plus se limiter aux seuls clubs deals accessibles via la plate-forme. « C’était aussi l’occasion pour nous de signer des opportunités de plus grandes envergure, que nous dénichions, mais qui s’avéraient trop importantes pour un club deal », explique Joachim Dupont, président-fondateur d’Anaxago Capital. Investisseur généraliste, Anaxago Capital s’intéresse aussi bien au logement (neuf, social, etc.) qu’à l’immobilier tertiaire en centre-ville, et accompagne les opérateurs en investissant en fonds propres et dette mezzanine.
En mars 2019, Anaxago Capital lance un premier FCPR, Anaxago Society One, qui cible des opérations de promotion et de réhabilitation immobilière; le fonds est accessible aux investisseurs à partir de 10 000 €. Il vise en priorité des projets de financement à taille humaine, sur des durées courtes, de douze à trentesix mois, et profite du track-record d’Anaxago.
Society One collecte près de 20 M€ sur un an, très rapidement et intégralement investis au sein d’une trentaine de projets. Objectif ? Réaliser une performance de 8 à 10 % par an sur cinq ans.
. Second millésime du FCPR immobilier Anaxago Capital commercialise aujourd’hui le deuxième millésime de son fonds de capital-investissement destiné aux investisseurs privés, Anaxago Society 2021, investi, à la fois, en dette mezzanine auprès de promoteurs et marchands de biens, et en actions. Le fonds ciblera naturellement des programmes en lien avec les tendances profondes qui animent le marché immobilier au sein des grandes métropoles françaises:construction de logements, réhabilitation d’actifs de centre-ville, changement de destination, repositionnement d’actifs en voie d’obsolescence vers de nouveaux usages, tels le coliving, le coworking ou l’immobilier géré… « Notre métier consiste à créer de la valeur avec les opérateurs en imaginant de nouvelles vies aux actifs immobiliers; un domaine moins concurrentiel que l’immobilier de rendement classique. La crise a d’ailleurs ouvert des opportunités. En tant que fonds à taille humaine, nous ne subissons pas la concurrence des très gros institutionnels. Nous profitons, en revanche, de leur intérêt pour ces classes d’actifs:il garantit la liquidité à la sortie », analyse Joachim Dupont. Le fonds bénéficie de l’important sourcing d’Anaxago et est autorisé à préempter 25 à 75 % des propositions de la plate-forme.
Anaxago Society 2021 cible, a minima, un TRI net supérieur à 7 % sur cinq années, prorogeables deux fois un an, avec un remboursement à partir de la quatrième année. Le fonds vise une col-lecte maximale de 50 M€ et a d’ores et déjà identifié une trentaine d’opportunités; cinq sont en cours d’investissement. Il peut être logé en assurance-vie française et luxembourgeoise ou en PEA-PME, pour une fiscalité avantageuse.
.Une solution originale au 150–0 B ter La société de gestion annonce également le lancement d’un nouveau club deal dédié au réemploi des plus-values de cession:la SLP Anaxago Club-Deal Réemploi. « Sur ces capitaux durement gagnés, les dirigeants ne veulent pas prendre trop de risque. L’immobilier est donc parfaitement indiqué », souligne Joachim Dupont.
Solution assez unique sur le marché, le fonds cible des opérations de marchand de biens et de réhabilitation d’actifs immobiliers dans les grandes villes françaises, avec un horizon de trois à cinq ans pour chaque programme. Il vise un rendement de 5 à 7 % nets, avec une plus-value à trois-quatre ans. Accessible à partir de 100 000 €, il est éligible au 150–0 B ter. Plusieurs biens sont déjà en cours d’acquisition:trois à Paris, un à Marseille. « De petites opérations, mais très bien achetées, selon une approche assez prudente », précise Joachim Dupont. Une soixantaine de CGP et family offices ont déjà signé une convention pour assurer la distribution des solutions proposées par la jeune société de gestion… .