A fin novembre, le nombre de ventes (actes signés) réalisées sur le marché résidentiel s’élève à 1 116 000 sur douze mois glissants, en léger recul (-6 % sur un an) par rapport à novembre 2021 (1 188 000 ventes). La Fnaim estime que 1 100 000 ventes ont été conclues durant l’année 2022. Une performance en trompe-l’œil, puisqu’après un bon premier trimestre, le nombre de ventes diminue. Cette tendance s’observe dans les secteurs où les prix avaient le plus augmenté, en Bretagne et dans le Sud-Ouest. Si les prix affichent, au niveau national, une bonne résistance face à l’inflation (+6,7 % au 1er janvier), des disparités sont à noter entre Paris et les grandes métropoles où les prix ont tendance à s’éroder alors que dans les villes de taille moyenne et les stations balnéaires ou de ski, ils progressent, respectivement de 6,7 %, 10,7 % et 10,3 %.
Un marché du résidentiel en trompe-l’oeil
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