Faut-il vraiment les conserver ? Y reverser ? Les transférer ? Autant de questions à aborder posément, impacts fiscaux à la clé, et à trancher avec l’appui d’un conseiller aguerri.
Quel client patrimonial ne détient pas aujourd’hui au moins une assurance-vie ? Le cas est sans doute rare. C’est pourquoi se pose toujours la question lors d’un investissement du choix entre reverser sur un contrat existant, parfois souscrit il y a de nombreuses années, ou en ouvrir un nouveau.Vaste problématique, souvent complexe, qu’il faudra traiter à l’aune de plusieurs critères : base technique, fiscalité et performances du contrat possédé, objectifs et situation patrimoniale du client. Avant d’y venir, quelques chiffres pour situer le débat. Selon les données de France assureurs publiées ce printemps, on compterait 55 millions d’assurances-vie en cours sur le territoire pour un total de 19 millions de souscripteurs. Soit près de trois contrats par (...)
Cet article est réservé aux abonnés