C’est l’attrait fiscal qui fait tourner le PER (plan d’épargne-retraite) individuel.Mais il faudrait aussi se préoccuper de son contenu financier. Faut-il opter pour la gestion pilotée à horizon, appliquée par défaut ? Quelles sont les alternatives ? Tour d’horizon.
La saison du PER individuel est derrière nous. Commercialement, les établissements financiers font le plein sur le dernier trimestre de l’année civile : logique, la recherche de solutions de défiscalisation est alors prioritaire. Ce à quoi répond efficacement le PER, produit financier rapidement accessible et ayant pour attrait immédiat la déductibilité des primes du revenu imposable jusqu’à certains plafonds élevés. « 50 % de notre activité est concentrée sur les trois derniers mois de l’année », reconnaît Christophe Olivier, directeur général de My Pension, un cabinet de conseil spécialisé en épargne-retraite.Au vu des statistiques, quatre ans après son lancement, (...)
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