Si la finance verte est connue et plébiscitée par les investisseurs, le volet social (emploi, éducation, économie sociale et solidaire, bien-être, égalité homme- femme ou encore inclusion) demeure un pan méconnu de l’investissement à impact.
Suite à la crise sanitaire, l’époque change : les entreprises s’emparent de l’enjeu sociétal, suivies par des investisseurs soucieux de donner du sens à leur épargne.
De plus en plus, l’univers des fonds ISR prend de l’ampleur dans les por- tefeuilles. Si l’attrait des investisseurs pour les fonds dits « verts »– le E d’ESG – ne se dément pas, de plus en plus d’entre eux sont attirés par les fonds « sociaux », le S d’ESG, notamment les investisseurs institutionnels, la crise sanitaire (tout comme celle des gilets jaunes) ayant aussi révélé la nécessité de davantage prendre en considération les enjeux sociaux et sociétaux. Ces fonds peuvent viser différents objectifs : favoriser (...)
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