Actifs alternatifs : un marché à haut potentiel

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Le désamour des investisseurs pour les bureaux profite aux classes d’actifs alternatives. Avec leurs rendements élevés et leur stratégie opportuniste, ciblée sur des micromarchés porteurs, elles viennent doper la performance d’un portefeuille sur un marché de l’immobilier atone. Sous réserve d’une gestion proactive et d’une vigilance accrue… Une année noire pour la pierre. Le volume global d’investissement en immobilier d’entreprise en France a reculé de 51 % en 2023, s’élevant à 14,3 milliards d’euros, contre 29,4 milliards en 2022 et une moyenne décennale de 29,2 milliards. « Ces chiffres en forte baisse sont le fruit de trois facteurs convergents. D’abord, de l’attentisme des investisseurs face au réajustement des prix et nos analyses montrent que, pour l’heure, nous avons parcouru l’essentiel du chemin sur la catégorie core mais pas encore sur les actifs secondaires et obsolètes. Ensuite, du retour en force des obligations (...)
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